ART(e)

1 déc. 2011

Moi, ma maison ///

bois, roulettes, corde et peinture acrylique (90x70x50cm) 2011, cathy burghi

21 févr. 2010

projet maison rouge ///

Installation (maison bois, écran) photographies performance (2009) cathy burghi

Il s'agit d'un ensemble de photographies d'interventions de l'artiste dans son entourage présenté dans une petite installation en bois (en forme de maison) contenant un écran de 10 pouces affichant les 47 photographies en boucle. Les images montrent un projet de construction d'un espace de refuge, la délimitation d'un espace personnel, et sa destruction.

L'individu a besoin de tracer des limites entre sa personne et son environnement, de construire un espace à son image où développer son identité. Cette construction fait partie du cycle de la vie tout comme la destruction qui permet de créer d'autres projets. Le feu qui brule cette petite maison rouge dans la forêt c'est la fin des limites, et la perte de l'identité. Les objets isolés et divers se perdent dans les mêmes flammes. Dans les représentations de la fin du monde, le feu est l'élément le plus destructeur. C'est une mythologie universelle qui représente la fin d'un cycle. De manière antagonique, le feu, par sa maîtrise, représente le commencement de la civilisation.

Le feu
"Avant qu'il se déclare, l'arbre se dressait près de l'arbre, la maison prés de la maison,chacun à part, bien separé de l'autre. Mais ce qui était distintc, le feu le réunit en un rien de temps.Les objets isolès et divers voont tous se perdre dans les mêmes flammes.Ils deviennent si bien identiques qu'ils disparaissent: maisons, êtres vivants, tout est saisi par le feu".

Elias Canetti.

24 août 2009

Fênetre maison ///

Photographie, performance 2009 cathy burghi

Maison de passage ///

9 juil. 2009

Territoir miroir /// Territorio espejo

Photgraphie 2009

« Narcisse ne se regarde pas dans un miroir artificiel mais dans celui de la Nature: peut-être
ne s'est-il pas vu lui-même seulement dans l'eau, mais lui-même comme tout, sinon peut-être
au lieu de rester se serait-il enfui? » Lou Andreas Salomé